mercredi 5 septembre 2012

Les vrais enjeux des élections municipales complémentaires

L'élection municipale partielle des 9 et 16 septembre est décisive pour l'avenir de notre commune dans les 18 prochains mois. Le choix qui s'offre à vous est simple : en finir ou non avec les dysfonctionnements qui empêchent un travail efficace du conseil municipal et nuisent gravement à l'image de Saint-Quay-Portrieux. Il s'agit de retrouver la sérénité qui permettra de gérer la commune avec le seul souci de ses habitants et de l'intérêt général.

Quelques exemples :

  • Nous voulons restaurer pleinement l'image extérieure de notre commune et mettre en valeur son attractivité pour lui donner toutes ses chances d'obtenir le site de maintenance des éoliennes
  • Nous voulons mener le chantier du casino à son terme, tel qu'il a été voté, avec le maintien d'un mini-golf rénové à son emplacement actuel
  • Nous voulons mettre en place une gestion stable et durable du cinéma pour ne pas risquer de le voir à nouveau fermé
Notre liste est soudée autour de ces objectifs. Elle est animée par la volonté de débloquer le fonctionnement municipal pour travailler de façon positive et constructive.

La liste Allenou, très proche de Georges Brézellec, est déjà divisée du fait de certains colistiers particulièrement agressifs. Elle ne pourrait que s'allier avec les 10 élus de l'opposition actuelle. Tout le monde en convient. 


Ne nous trompons pas d'élection. Ce n'est pas un nouveau maire que vous devez élire. Comme l'a rappelé le Préfet, le maire actuel a été élu pour 6 ans, jusqu'en mars 2014. Ce qui est en jeu, c'est qu'il retrouve une majorité au conseil municipal pour servir l'intérêt général. Concrètement, les 7 candidats de notre liste s'ajouteront aux 6 élus en place. Ainsi 13 élus sur 23 constitueront une nouvelle équipe majoritaire au service des Quinocéens.

Il est donc essentiel que tous les partisans de l'apaisement et d'une gestion constructive de la ville votent liste entière "Pour les Quinocéens, avec le maire". Tout panachage reviendrait à renforcer les 10 élus de l'opposition actuelle, pilotés par G. Brézellec.